La Maison A-J Aubert présente sa sélection de bracelets à l’occasion des fêtes de fin d’année. Les bijoux A-J Aubert sont inspirés d’Ange-Joseph Aubert, joaillier à la cour de France.
Pour les fêtes de fin d’année 2024, la Maison A-J Aubert vous invite à célébrer avec élégance et finesse grâce à ses bracelets, créations emblématiques de haute joaillerie. Inspirés des chefs-d’œuvre royaux du joaillier du roi Ange-Joseph Aubert, ces bijoux en diamants naturels sont ornés d’un délicat motif de volute, qui apportent une touche d’élégance à votre poignet.
Ces créations évoquent une élégance discrète, tout en apportant une touche de distinction qui met en valeur chaque personnalité.
Ces bracelets sont déclinés en cinq références en or rose, cinq en or jaune et cinq en or blanc, ornées toutes de 40 diamants naturels et aux coloris différents inspirés des magnifiques teintes de pierres, roches et matériaux tels que la Malachite, le Lapis Lazuli, la Nacre, l’Onyx et l’Agate. Composés d’une fine chaîne, ils arborent la veloute, signature A-J Aubert.
Le bracelet contour de veloute, est composé d’une chaîne disponible en or rose, en or blanc et or jaune. Sa chaîne, fine et délicate, comprend des maillons légers et est entrecoupée de petits anneaux ronds qui permettent de régler la taille du bracelet afin qu’il s’ajuste parfaitement à tout poignet. La volute est sublimée par l’ajout de 40 diamants naturels minutieusement sertis sur son motif. Ces pièces exclusives séduiront les passionnés de Haute joaillerie.
A propos de A-J Aubert
Une marque chargée d’histoire : Formé par son père en Avignon, Ange-Joseph Aubert, monté à Paris dans les années 1760, devint même l’un des plus illustres représentants de sa corporation, jusqu’à devenir l’orfèvre-joaillier attitré du roi Louis XVI, par brevet, décerné le 15 novembre 1773. Logé dans les galeries du Louvre, près des peintres Chardin et Vernet, c’est même lui qui fut chargé de concevoir la couronne du sacre de Louis XVI.
Parmi ses clients, la famille royale occupe une place prépondérante. Selon les écrits qui restent, Louis XVI, Marie-Antoinette, le comte et la comtesse de Provence, le comte et la comtesse d’Artois, Madame Élisabeth, et enfin Mesdames, tantes de Louis XVI, sont parmi ses acheteurs les plus actifs. Plusieurs des grands seigneurs et dames de la Cour -dont la comtesse Du Barry et la duchesse de Mazarin- apparaissent maintes fois dans les relations commerciales de l’orfèvre.
Marie-Antoinette est sans conteste la plus grande cliente de la Maison. Les historiens rapportent en effet qu’à partir de juin 1782, la reine s’adresse fréquemment au « Sieur Aubert » pour des commandes de parures souvent ornées de perles, de diamants, de médaillons, mais aussi pour des travaux de réparation et de transformation de bijoux, et parfois même pour des rachats de diamants. L’orfèvre lui fournit également plusieurs belles tabatières et bonbonnières… Ange-Joseph Aubert meurt en 1785 dans sa ville natale d’Avignon, il laisse en revanche un héritage considérable, aussi bien matériel qu’intellectuel.
Méandres de l’histoire, des amoureux de l’art du XVIIIe siècle font renaître en 2022 la Maison sous un nouveau nom, « A-J Aubert », plus moderne, mais qui entend toujours porter les valeurs de l’artisanat d’art en étendard. Une marque chargée d’histoire, mais non dénuée d’espièglerie, un trait qui se retrouve dans la manière de concevoir ses bijoux et ses messages. Véritables passerelles entre l’héritage familial et l’époque actuelle, les pièces sont un magnifique trait d’union entre passé et présent.
Crédits photos ©A-J Aubert